Le livre d’or, ce carnet de mariage sur lequel les invités vont prendre quelques minutes pour y déposer leurs mots, souvent très touchants, fait parti de ces objets qui vont rester, après, très longtemps après le jour J…
De participer à ces moments là me touche énormément, alors… Je m’applique et je m’entraîne à…
… écrire des mots à la plume oblique, des « hello », des « happy day », des « happy birthday » (à retrouver sur Instragram ;-),…, à faire des étiquettes (vive les cadeaux personnalisés !), ou au stylet sur la tablette pour rajouter quelques mots sur un dessin,… L’essentiel est de ne pas perdre la main ou de se rassurer peut-être bien…
… chercher le bon dosage de l’encre sur la plume: le mystère de la petite tâche noire n’est pas totalement percé et le plongeon dans l’encrier me réserve encore des surprises …
… bien respirer (vive les leçons de yoga !), parce que oui, je crois qu’il y a comme un subtil rapport entre sa respiration et l’assurance du trait qui se dépose sur le papier, même chose entre la respiration et la qualité de la coupe du carton au cutter (enfin là,… ça peut faire vraiment très mal !)…
… choisir les plus beaux papiers (papier japonais en fleurs de cerisiers, papier graphique étoilé, papier dentelle, pas encore essayé mais il me tarde !) ou encore des plus beaux tissus (et les incomparables Liberty)
… personnaliser ce carnet avec une jolie couverture et une page de garde,… parce que les petits détails, ce sont eux qui font d’une journée un moment unique et si particulier.
Enfin je livre le carnet et là,… ce ne sont plus seulement les futurs mariés qui stressent mais moi aussi…
Parce que les futurs mariés, je ne les rencontrerai sans doute jamais, mais cela m’importe énormément qu’ils l’apprécient, ce livre d’or qui va les accompagner, leur vie durant…
Mais aujourd’hui les « futurs » sont devenus « jeunes » mariés, plus que quelques mots à ajouter: « Tous mes voeux de bonheur ! » 💛